Environnement
L’environnement est devenu un enjeu majeur pour l’humanité. Cette prise de conscience s’est traduite sur le plan internationnal avec l’accord de Paris et sur le plan nationnal avec la loi Grenelle. Mais c’est localement que le combat pour sauver notre planète se joue.
ADILEE veille localement à ce que le développement immobilier se fasse de manière éthique et efficiente afin de préserver au maximum notre planète.
La moitié des 35 200 espèces animales et végétales recencées en France est menacée d’extinction, d’après un rapport du Ministère du Développement Durable.
L’étalement urbain entraîne une diminution et une fragmentation des surfaces naturels réduisant le brassage génétique entre espèces.
La lutte contre l’étalement urbain, qui a fait l’objet en mai 2014 d’une loi (Loi ALUR) est donc un enjeu majeur pour la préservation des écosystèmes. ADILEE entend veiller à ce que les décisions d’urbanismes prises au niveau local soient en accord avec les lois de la République.
Entre 1960 et 2010, la surface agricole utile française a diminué de 25%, passant de 36 à 27 millions d’hectares. Actuellement, la France perd en moyenne 82 000 hectares de terres agricoles chaque année, soit plus de 220 hectares par jour ! Ce constat est d’autant plus alarmant quand on sait que l’Europe est manque de terres agricoles et importe chaque année l’équivalent de la surface agricole française.
La lutte contre l’étalement urbain a fait l’objet en mai 2014 d’une loi (Loi ALUR). ADILEE entend veiller à ce que les décisions d’urbanismes prises au niveau local soient en accord avec les lois de la République.
Les forêts sont indispensables à la planète car elles régulent les équilibres climatiques, assainissent l’eau, empêchent l’érosion des sols et abritent une biodiversité exceptionnelle.
La lutte contre l’étalement urbain, qui a fait l’objet en mai 2014 d’une loi (Loi ALUR) est donc un enjeu majeur pour la préservation des forêts et zones naturelles. ADILEE entend veiller à ce que les décisions d’urbanismes prises au niveau local soient en accord avec les lois de la République.
Un Français produit en moyenne 150 litres d’eaux usées chaque jour, appelées eaux résiduaires urbaines. Pour éviter que leurs rejets ne polluent les milieux naturels, ces eaux doivent impérativement être collectées et traitées.
La France est régulièrement condamnée par la Cour de Justice de l’Union Européenne pour non respect de la Directive Eaux Résiduaires Urbaines (DERU)de 1991. ADILEE entend veiller à ce que les stations d’épurations respectent les normes européennes et aient une capacité adaptée à la population.
Santé Publique France estime à 48 000 le nombre de décès annuel liés à la pollution par les particules fines, soit 9 % de la mortalité française.
Par ailleurs la pollution de l’air a un effet dévastateur sur les écosystèmes (pluies acides entraînant le dépérissement des forêts et la dégradation des sol, phénomène d’eutrophisation dû à un excès de dépôt d’azote…).
La qualité de l’air est donc un enjeu écologique et sanitaire majeur. ADILEE entend veiller à ce que les décisions d’urbanismes prises au niveau local aillent dans le sens d’une amélioration de la qualité de l’air.
Les secteurs résidentiels et tertiaires représentent en France 43% des consommations énergétiques finales. La consommation d’énergie associée au bâtiment est essentiellement due au chauffage.
La rénovation du bâti existant et la réalisation de constructions neuves efficientes sont donc essentiels pour atteindre l’objectif de division par 4 des émissions des gaz à effet de serre d’ici 2050 à l’origine du réchauffement climatique.
ADILEE entend veiller à ce que les décisions d’urbanismes prises au niveau local permettent d’atteindre les objectifs fixés sur le plan national.